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Ressources : Points de vue sur la guerre de 1812

The Astonishing General: The Life and Legacy of Sir Isaac Brock (de Wesley B. Turner), Dundurn Press, 2011.

Photo : The Astonishing General: The Life and Legacy of Sir Isaac Brock (de Wesley B. Turner), Dundurn Press, 2011.

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Fiducie du patrimoine ontarien

Le patrimoine militaire

Published Date: févr. 17, 2012

The Call to Arms: The 1812 Invasions of Upper Canada (de Richard Feltoe), Dundurn Press, 2012. « The Call to Arms » est le premier tome d’une série intitulée « Upper Canada Preserved – War of 1812 », qui en compte six. Chaque tome de cette chronique de la guerre de 1812 associe l’excellence de la recherche historique moderne et de longues citations tirées de lettres personnelles et de documents officiels originaux en vue de retracer cette période cruciale des débuts de l’histoire du Canada.

Fire Along the Frontier: Great Battles of the War of 1812 (d’Alastair Sweeny), Dundurn Press, 2012. « Fire Along the Frontier » est le premier ouvrage qui traite dans le détail des principales batailles de la guerre de 1812 sous un angle commercial et social, tout en examinant la culture politique dans les deux camps.

The Astonishing General: The Life and Legacy of Sir Isaac Brock (de Wesley B. Turner), Dundurn Press, 2011. Cet ouvrage est consacré au major-général Sir Isaac Brock (1769-1812). Il retrace sa vie, sa carrière et son héritage, en particulier dans les deux Canadas, ainsi que le contexte de l’époque. L’un des legs les plus durables de la guerre de 1812, dans le camp des États-Unis comme dans celui du Canada, est l’apparition de héros et d’héroïnes. Isaac Brock fut le premier d’entre eux, et à bien des égards le plus improbable. Ainsi, ses ennemis américains l’admiraient presque autant que son propre peuple. Il est encore plus frappant de constater qu’un général britannique ayant joué un rôle militaire pendant moins de cinq mois au cours de cette guerre de deux ans et demi en est devenu un peu partout le héros le plus connu et le plus vénéré.

Laura Secord: Heroine of the War of 1812 (de Peggy Dymond Leavey), Dundurn Press, 2012. Après avoir traîné, à elle seule, son mari blessé à l’écart du champ de bataille pendant la guerre de 1812, Laura Secord (1775-1868) est contrainte d’héberger des soldats américains afin de bénéficier d’un soutien financier pour le soigner durant sa convalescence. C’est à cette occasion qu’elle surprend une conversation exposant le plan américain visant à tendre une embuscade aux troupes britanniques à Beaver Dams. En 1813, faisant preuve d’une persévérance, d’un courage et d’une audace exceptionnels, Laura parcourt à pied les 30 kilomètres qui séparent sa maison d’un avant-poste britannique afin de prévenir le général James FitzGibbon. [Elle parvient à lui parler] juste à temps pour permettre aux Britanniques de préparer une embuscade contre les forces américaines toutes proches, qui force le général américain à la reddition.

In the Midst of Alarms: The untold story of women and the War of 1812 (de Dianne Graves), Robin Brass Studio, 2007. Cet ouvrage essentiel de Dianne Graves aborde la guerre de 1812 sous un angle totalement inédit. Il s’agit d’une œuvre novatrice consacrée à l’étude des femmes – américaines, canadiennes, britanniques et autochtones – qui ont vécu la guerre de 1812.

Capital in Flames: The American Attack on York, 1813 (de Robert Malcomson), Robin Brass Studio, 2008. La journée la plus traumatisante qu’a connue Toronto remonte à l’époque où elle constituait la ville frontalière de York. En avril 1813, des navires de guerre placés sous le commandement du commodore américain Isaac Chauncey débarquent 1 700 soldats à proximité du site actuel de l’Exposition nationale canadienne. Le général Zebulon Pike mène ses troupes au combat contre les défenseurs britanniques, canadiens et autochtones dirigés par le général Sir Roger Sheaffe. Au cœur de la bataille, une puissante explosion déchire le sol et fait trembler les fenêtres à 40 milles à la ronde, tuant ou blessant près de 300 personnes … La ville subit un traumatisme que bien peu d’habitants pourront oublier et, sous le feu des critiques, le général Sheaffe abandonne définitivement le service actif.

The Journal of Major John Norton, 1816 (de Carl Frederick Klinck et John Norton), The Champlain Publications, 2011. « The Journal of Major John Norton » est le récit autobiographique d’un périple de 1 000 milles que John Norton a effectué entre le Haut-Canada et le territoire des Cherokees et de ses rencontres avec des membres de la Ligue des Cinq-Nations jusqu’à la fin de la guerre de 1812. Fils d’une mère écossaise et d’un père cherokee, John Norton (Teyoninhokarawen) était un adjoint du chef de guerre mohawk Joseph Brant (Thayendanegea). Le manuscrit original se compose de deux carnets qui appartiennent à la collection privée du duc de Northumberland.

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